Le Frère DEnzo (Partie 2)
Lorsque je sortis de la salle de bain, je me couchais complètement nue dans le lit et
tombais directement dans un sommeil profond après cette matinée de baise intense.
Je me réveillais en milieu daprès-midi. Je pris mon téléphone pour lire le message
quEnzo mavait probablement envoyé. Il avait coutume de menvoyer un mail pour
mindiquer ses exigences concernant la soirée. Le message du jour était :
« Gio a apprécié ton accueil ;) . Dîner à la maison, tu choisis le menu mais prend un
grand vin, rouge. Tenue libre, fais-moi la surprise mais ne me déçoit pas ! »
Jallais à la salle de bain me maquiller. Yeux charbonneux et lèvres rouges vif
feraient de leffet. Jattachais mes longs cheveux en un chignon haut laissant
échapper quelques mèches folles autour de mes tempes et dans mon cou. Je pris mes
boules de geisha, les enduisis dune goutte de lubrifiant et me les plaçais lune
après lautre au fond du vagin pour me mettre dans le ton de la soirée. Enfin, je
déposais quelques gouttes de parfum dans mon cou, entre mes seins et au creux de mes
coudes.
Dans ma garde-robe, je choisis un redresse-seins en tulle noir bordé dun liseré rouge
avec un petit nud, rouge également, au centre et le porte-jarretelles assorti auquel
jaccrochais des bas couture (dont la couture courre tout le long de la jambe jusquau
talon). Je me glissais ensuite dans un chemisier de satin noir. Le frottement du tissu
sur la pointe de mes seins les faisait pointer divinement à travers le chemisier et
les boules de geisha massaient agréablement mon antre humide. Si avec ça Enzo est
déçu, jme fais nonne, pensais-je en souriant en regardant mon reflet dans la psyché.
Une jupe courte portefeuille noire et mes louboutins de 12 cm complétaient ma tenue.
Sexy mais classe.
Je téléphonais à notre traiteur habituel et me rendis au salon.
pièces mais ny trouvais personne. Gio était sorti, jétais seule à la maison.
Les boules de geisha produisaient en moi une excitation certaine mais je minterdis de
me masturber pour garder au plaisir à venir toute son intensité quand Enzo me le
livrerait. Je ne me privais toutefois pas de jouer avec les muscles de mon vagin
autour des boules, et de magiter du bassin, en regardant distraitement la télé.
Enfin, jentendis la clé dEnzo dans la serrure. Je me levais et accourais dans le
hall pour laccueillir. Il était accompagné de Gio, lequel me reluquait avec
concupiscence. Le regard dEnzo combla la salope soumise que je suis : je lui plaisais
et il me désirait (la bosse qui se formait à son entrejambe me le confirmait), il
était fier de moi.
Il sapprocha de moi et me donna un baiser profond qui me confirma son contentement.
Il me fit signe de me rendre au salon et passa sa main sur mes fesses au passage. La
fierté que javais lue dans ses yeux, sa caresse sur ma croupe et les boules qui
vibraient dans mon antre, il ne men fallu pas plus : je me sentis ma mouille inonder
mon string. Gio sétait installé sur le canapé devant la tv, Enzo sassit sur le
fauteuil attenant. Comme tous les soirs je lui demandais ce quil voulait boire. Ses
yeux ne quittaient pas mon corps, sattardant sur les pointes de mes seins qui
perçaient sous le satin, caressant mes cuisses et, même si je nai pas les yeux dans
le dos je le devinais avec certitude, sur le rebondi de mes fesses que la cambrure
créée par mes talons hauts accentuait.
- Je prendrais un whisky, répondit-il, puis, se tournant vers son frère : Gio, tu veux
quelque chose ?
- À part sa chatte tu veux dire ? Va pour un whisky, répondit Gio qui me déshabillait
littéralement du regard.
Je leur apportais les boissons puis, sans un mot, magenouillais devant Enzo,
détachais sa ceinture et son pantalon, ouvrais la braguette puis sortais de son
caleçon le membre déjà bandé.
vêtements à mi-cuisse et être à laise pour le prendre en bouche. Je lui pris les
couilles et les léchais puis fis remonter ma langue le long de sa hampe avant de
prendre son gland en bouche. Ce qui fut accueilli par un soupir de plaisir de
monsieur. Je jouais avec ma langue sur son gland à présent décalotté, lui titillant le
méat qui me gratifia de quelques gouttes, tout en le branlant doucement de la main
droite. Je enfonçais ensuite sa bite jusquà ma gorge et la limais avec la bouche un
moment. Je moccupais à nouveau goulument de son gland tout en branlant sa bite dune
main et caressant ses couilles et son scrotum de lautre. Je levais les yeux pour voir
que les siens étaient fermés, abandonnés au plaisir et à la détente après sa journée
stressante au boulot. Les boules vibraient divinement en moi au rythme de mes
mouvements. Jen profitais pour jeter un coup dil à Gio dont la main gauche
disparaissait dans son pantalon. Il se branlait et lorsquil me vit le regarder, il me
désigna sa bite dun regard, lair de dire « elle tattend ta bouche ». Il peut
toujours continuer à se branler tout seul, pensais-je. Le plaisir dEnzo était ma
seule priorité, dailleurs, il était au bord de lorgasme aussi je le pris en gorge
profonde, il mappuya sur la tête en donnant un petit coup de rein et me gicla
copieusement au fond de la gorge. Javalais tout son foutre amer et sucré à la fois
puis je lui léchais le gland pour lui rendre sa bite parfaitement propre.
- Va sucer Gio maintenant, ptite salope goulue.
- Enzo, je
Je veux pas. Je te veux, toi. Que toi.
Enzo mattrapa fermement dune main derrière la nuque et se penchant comme pour me
murmurer à loreille, me cria en tirant violemment ma tête en arrière par les cheveux
:
- Depuis quand tu me réponds ? Tu fais ce que je te dis, tu discutes pas ou je te jure
que tu vas le regretter salope !
Je mexécutais, réticente.
tête et senfonça entier dans ma bouche, son gland butant dans ma luette me faisait
monter les larmes aux yeux. Il jouit très vite et prit un plaisir vicieux à me
regarder déglutir son foutre pendant que le maquillage autour de mes yeux coulait.
Mon chignon ne ressemblait plus à rien. Je détachais mes cheveux qui tombaient en
cascade sur mes épaules jusquau bas de mon dos. Toujours agenouillée devant Gio, il
ne put sempêcher de me caresser les cheveux.
- Comment trouves-tu Alice, Gio ? demanda Enzo.
- Très belle et très salope, une vraie perle. On ne peut rêver plus bandante. Faut
revoir un peu son éducation, elle doit se soumettre sans rechigner, répondit Gio.
Décidément, il aime forcer les femmes
pensais-je un peu inquiète pour le reste de la
soirée et aussi le reste du séjour de Gio a la maison.
- Je suis fier de toi, tu plais à Gio, ma chérie. Tu me fais honneur. Par conséquent,
ce soir tu as droit démettre une demande. Cependant, Gio étant notre invité, cest
lui qui dirigera la soirée. Il fera de toi ce que bon lui semble. Alors, quest-ce qui
te ferait plaisir ? demanda Enzo.
- Je peux y réfléchir pendant que lon mange ?
- Ok, réfléchis-bien, petite salope.
Nous mangeâmes. Le vin était absolument exceptionnel, inquiète de la soirée à venir,
jeus tendance à en r un peu plus que de raison. Gio et Enzo parlaient entre eux
en italien, je commençais à réfléchir à ce que jallais demander. Il ne fallait pas
que je fâche Enzo et en même temps, il attendait une réponse
À la fin du repas, Enzo me fit assoir sur la table devant lui et, commençant à me
caresser le corps, les seins et, écartant les pans ma jupe, me caressa les cuisses.
- As-tu fait ton choix ?
- Oui, jaimerais que lon me fasse jouir avec la bouche...
Jespérais avoir émis une demande acceptable.
que Gio me prenne du tout mais si javais dit ça, ça aurait déclenché la colère
dEnzo
. Jattendais le verdict de Gio avec angoisse.
- Quelle putain de salope ! Bien sûr que je vais te le brouter ton minou ! Exulta Gio.
Entre temps, Enzo avait dirigé une main sur mon entrejambe et glissé un doigt le long
de ma fente. Il sarrêta net, surpris dy trouver un objet inattendu
- La petite salope nous a préparé son con, on dirait ! Petite cachottière ! Sur ces
mots il tira sur la cordelette de mes boules de geisha et les retira lune après
lautre. Elles étaient trempées de mouille. Cette découverte fit bien rigoler Gio.
Enzo faisait pendre les boules dans le vide par la cordelette juste au-dessus de son
visage et sorti sa langue pour les lécher. Je me mis à rire et ma langue rejoint la
sienne autour des sphères. Enfin, nos langues senroulèrent dans un baiser
merveilleux.
Pendant ce temps, Gio sétait approché et avait glissé sa main dans mon corsage.
Découvrant mes seins pointés il ny tint plus et arracha le chemisier avant de le
faire glisser le long de mes bras. Il prit mon sein droit dans sa bouche et Enzo fit
de même du gauche. Je me sentais très excitée et mouillais même si je stressais en
imaginant les perversités sexuelles auxquelles Gio allait me soumettre.
Enzo partit chercher un foulard noir et me banda les yeux. On mattacha les mains
ensemble sur le devant. Une main prit les miennes pour me faire descendre de la table
et on me conduisit jusquau canapé. On prit soin de me faire asseoir les fesses à ras
du bord et de me retirer mon string. Jécartais ensuite mes cuisses. Une bouche
membrassa la vulve avec douceur et une langue vint laper doucement lentrée de ma
grotte humide. Cela me tira un râle de plaisir et mon dos sarqua pour présenter plus
avant mon sexe à cette bouche divine. Le pouce de la main me titillait le clito et
chaque lampée sur ma moule me faisait couler un peu plus de cyprine hors de la chatte.
Dautres mains me caressaient le corps, les seins, les cuisses, ou me caressaient les
cheveux qui ondulaient dans le vide. Tout cela était étonnamment très doux. On me
glissa un doigt dans la bouche puis je sentis que lon menjambait. Lun deux était à
califourchon au-dessus de ma poitrine et se branlait dans mon 90 double D. Pendant ce
temps le deuxième avait glissé plusieurs doigts dans mon antre quil limait
délicieusement. Je les voulais en moi. Tous les deux et tout de suite !
Enfin, la bite quitta mes seins et avança un peu plus haut sur mon corps, je me
retrouvais la bouche sous ses bourses. Je me mis à lécher puis relevais le haut de mon
corps pour prendre sa bite dans ma bouche gourmande. Au moment où elle se refermait
sur sa hampe, je sentis le gland de lautre forcer lentrée de mon sexe. Ils
glissèrent au même instant en moi et jémis un râle de plaisir aussitôt étouffé par
une gorge profonde. Il me baisait la bouche comme il laurait fait de mon con.
Étouffant, je suçais fort, creusant mes joues pour lui donner le plus de plaisir
possible afin que le calvaire sachève vite. Lautre allait et venait dans ma chatte.
Faisant alterner la glace et le feu en moi, il se retirait dans une lenteur infinie
jusquà lentrée de ma chatte, mes lèvres ne tenaient écartées que par la boursouflure
de son gland puis, en un instant, dun violent coup de bite, il senfonçait jusquà la
garde en un grand coup de rein qui me percutait le fond du vagin. Il torturait mon
désir et ce faisant me menait au bord de lorgasme à chaque coup de bite. Une telle
maîtrise, entre douceur et violence, ne pouvait être que luvre de Gio.
Ils se retinrent jouir puis, comme dun seul homme, ils se retirèrent tous les deux au
même instant. On me dirigea vers la table basse que lon me fit à enjamber. On appuya
sur mes épaules pour me faire comprendre de masseoir à califourchon et jeus la
surprise de sentir un gland butter contre mon sexe. Mais ce gland était énorme, dur,
froid. Un gode. Énorme. Je lagrippais dune main et le guidait en moi. Heureusement
que je suis bien lubrifiée ! Pensais-je. Il mappuya de tout son poids sur les épaules
et je criais quand le gode mécartela les chairs.
- Baise-le, salope ! Cétait la voix de Gio, bien entendu.
Je bougeais un peu. Mon sexe était douloureux. Javais mal, javais peur. Gio navait
apparemment pas la même retenue quEnzo dans nos jeux de soumission.
- Plus fort salope ! Et il prit mes hanches et les fit coulisser sur le jouet
démesuré. Oui, comme ça, et je veux te voir jouir. Ça nallait pas être évident de se
laisser aller à la jouissance vu la douleur
Enfin, comme une pute émérite, jondulais sensuellement de la croupe et appliquais un
mouvement de piston sur lengin. Le frottement dans mon vagin me provoqua, malgré moi,
de lexcitation et je mouillais. Je sentis la chaleur du plaisir monter dans mon
ventre et mes seins se tendre. Une bite mexplosa soudainement et violement la
rondelle. Je criais. La douleur était terrible. Il me pilonnait le cul, me le
défonçait en un va et vient frénétique.
- Jvais tfaire jouir, salope ! Tu vas aimer ça quon te malmène.
Je ne pus répondre que par des gémissements de douleur. Enfin, je conçus de lexciter
pour quil jouisse le plus vite possible.
- Oh ! Oh ! Oui, ouïïï ! Je jouis, tu me fais jouir ! Je suis ta putain soumise !
Mais où donc était Enzo ? Pourquoi le laissait-il minfliger tant de douleur ?
Enfin, je sentis son membre se tendre en moi et il jouit longuement, en trois ou
quatre giclées tout en grognant comme un animal.
Il se retira. Pas trop tôt, pensais-je soulagée. Le gode, lui, était toujours en moi.
Je ne pouvais plus bouger, plus me relever, jétais à genoux, le gode bien profond, le
cul qui nétait plus que douleur en équilibre ras du bord de la table basse.
- Putain de salope ! Quest-ce que jtai mis ! Cest plus un anus que tas cest un
trou béant, tu vas pas pouvoir tasseoir avant longtemps ! Et il se mit à rire à gorge
déployée.
Cest alors que je sentis sa bite, celle dEnzo. Il était donc là. Il avait donc
laissé faire et au vu de la tension de son sexe, ça lavait excité. Sa bite glissa sur
mon trou et, heureusement, chercha son chemin plus avant. En effet, appuyant sur le
gode qui remplissait déjà ma chatte, il conçu dy entrer à son tour, en même temps.
Javais déjà connu la double pénétration mais jamais avec un gode de cette taille !
Javais même du mal à croire que cétait possible en le voyant dans les pornos. Je
stoppais tout mouvement dans lattente de la douleur dans lattente de la déchirure
qui ne manquerait pas de dilacérer ma vulve déjà dilatée au maximum par le braquemart
de silicone. Petit à petit, dans une douceur infinie, cette seconde bite glissa sur le
gode pour venir emplir un peu plus ma chatte. Je restais dabord sans bouger et ce fût
sa queue qui ondula en moi. Je jouis fort, lafflux de cyprine que cela provoqua,
facilita encore la pénétration et, à part un petit tiraillement à lentrée de la
vulve, je ne ressentais absolument aucune douleur mais un plaisir intense. Jen
oubliais même la brûlure qui ravageait toujours mon cul. Enfin, ce fût moi qui
imprimais les mouvements de piston et me remplissait des deux dards, lun de chair et
lautre de silicone. Jeus plusieurs orgasmes très puissants. Des frissons me
parcouraient tout le corps, mon vagin se resserrait sur les membres en moi, de la
sueur me coulait le long du dos et dans le creux des seins, mes cheveux collaient sur
mes tempes et mon front. Je jouissais dorgasme paroxystique. À en devenir folle, à en
perdre tous mes repères, mes jambes ne portaient plus mon corps, jétais telle une
poupée de chiffon. Jétais, je peux le dire, littéralement en extase. Lorsquil jouît
en moi, je neus pas la force nécessaire pour me relever et gardais de longues minutes
sa bite qui débandait dans un mélange de foutre et de cyprine dans mon antre.
Enzo se retira. Il passa une main sous mes hanches quil releva et de lautre fit
glisser le gode hors de ma chatte. Puis, il me retourna et je me retrouvais allongée
sur le dos sur la table basse, les jambes inertes dans le vide. Je crois que jai
perdu conscience un moment. Lorsque je revins à moi, le foulard mavait été retiré et
le poing de Gio disparaissait entier dans ma chatte. Il bougeait légèrement mais ma
chatte distendue semblait anesthésiée, je ne sentais rien si ce nest une présence
incongrue.
- Tu vois quon peut la fister ! Jtavais dit
je nécoutais plus
Au bout dun moment, Enzo, me relevant dune main la tête, présenta un verre deau à
mes lèvres que je bus avidement.
- ça va?
- Oui, ça va. Jai mal à
au
à mon
et je baissais les yeux.
- Je vais te soigner ça.
Il maida à me doucher puis me fit allonger à plat ventre sur le lit avant de
menduire le séant dune pommade bienfaisante. Je sentis quil glissait une couverture
sur moi pendant que je mendormais, éreintée.
Le lendemain matin, nue sous mon kimono de soie, je rejoignais les deux frères qui
buvaient un café au bar de la cuisine. Javais encore mal et marchais difficilement.
Gio me regarda dun air pervers, il jouissait de me voir souffrir à cause de ce quil
mavait fait.
- Gio part ce matin, on va le déposer à la gare pour 10h me dit Enzo. Bon débarras,
répondis-je intérieurement.
Cétait samedi, donc Enzo ne travaillait pas.
Dans la voiture, bizarrement, Gio ne prit pas place sur le siège passager mais à
larrière à côté de moi. Il me glissa à loreille :
- Je sais que tu es en colère, que tu ne maimes pas. Mais, ce qui me réjouit tu vois,
cest que tu va penser encore longtemps à moi, au moins tout le temps quil faudra à
ton cul pour cicatriser ! Et il se mit à rire comme un malade.
Nous arrivâmes à la gare et Enzo se gara dans le parking souterrain. Gio sortit de la
voiture et vint mouvrir la portière. Jaurais dû me méfier car son geste nétait pas
de la galanterie. Non, il mattrapa par les cheveux dune main et baissant son
pantalon de lautre, me força la bouche avec sa bite tendue.
- Tu vas bien lui dire au revoir à ma bite, non ?
Il me baisa la bouche en geignant bruyamment attirant les regards des passants. Il me
gicla au visage, javais du sperme partout dans le creux des paupières, sur le front,
les joues, les lèvres.
- Tient, voilà mon cadeau dadieu, un beau souvenir pour une belle salope ! Tu ne
tessuieras pas et tu vas rentrer chez toi comme ça !
Je regardais Enzo qui, au lieu dêtre fâché du comportement de son frère, prit sa
place devant moi et se branla pendant que je lui suçais la bite. Il jouit à
lintérieur de ma bouche puis se rhabilla.
Gio et lui partirent vers la gare et je restais souillée, à pleurer sur la banquette
arrière.
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